À l’origine, la définition de la mobilité douce était simple. Elle regroupait l’ensemble des mobilités non motorisées, c’est-à-dire les modes de déplacements dépendants de l’activité physique. Elle s’est ensuite élargie pour intégrer toutes les formes de mobilités alternatives à la voiture individuelle.
Les mobilités douces comprennent donc les mobilités actives, telles que la marche et le vélo. Elles incluent les innovations issues de la mobilité électrique : vélos à batterie, trottinettes électriques, gyroroues, hoverboards, etc. Dans ces cas, l’énergie motrice n’est pas uniquement, voire pas du tout, fournie par un effort physique. Aujourd’hui, les nouvelles formes de mobilités durables comme l’autopartage ou le covoiturage font aussi partie des mobilités douces.
Leurs points communs ? Par rapport à la voiture individuelle ou au transport en commun thermiques, elles réduisent les émissions de gaz à effet de serre et de polluant au roulage… ainsi que les nuisances sonores, ou encore olfactives. Mobilité douce et mobilité durable, encore appelée « éco-mobilité » se confondent. Sans compter que les mobilités actives ont aussi un bienfait sur la santé, pour rééquilibrer un mode de vie souvent sédentaire.