Faire l’expérience de l’autopartage automobile, c’est bien souvent découvrir les atouts de la mobilité électrique, tant les véhicules 100% électriques sont surreprésentés dans le parc de voitures partagées. Qu’il s’agisse d’un autopartage en free floating majoritairement présent dans les grandes villes car la voirie y est dense, ou d’un autopartage avec stations de retrait et de dépôt assimilable à de la location de courte durée accessible sur smartphone, les offres d’autopartage font la part belle à la mobilité électrique. Mobilize déploie une palette de solutions de nouvelles mobilités, de l’autopartage à la location automobile de courte durée, grâce à ses offres Zity by Mobilize et Mobilize Share. Savez-vous qu’un véhicule reste garé en moyenne 95% du temps, dont un quart correspond à un stationnement hors domicile ? L’autopartage électrique met à profit ces périodes d’immobilisation, car chaque stationnement est potentiellement une opportunité pour recharger le véhicule.
Le secteur d’activité de la voiture de transport avec chauffeur, aussi, est en pleine expansion. Il devrait quasiment doubler en 10 ans en Europe. Taxis et VTC sont particulièrement représentés dans les grandes agglomérations. Ils viennent, en complément des transports en commun urbains, répondre à des besoins ponctuels de transport flexible, sûr et confortable. Les entreprises du secteur comme les chauffeurs indépendants, sont séduits par l’électrique, notamment pour des raisons de coût d’usage contenu. Mais aussi parce qu’une voiture électrique permet de circuler dans les centre-villes et les Zones à Faible Émission (ZFE) réservés aux véhicules les moins polluants. Un avantage concurrentiel certain !
Regarder n’importe quels film ou série n’importe quand ? Écouter un album ou une playlist dans toutes les circonstances ? Rester informé via différents canaux selon les périodes de la journée ou de la semaine ? Choisir son repas et se le faire livrer dans l’heure ? Dans de multiples domaines, chacun s’habitue progressivement à tout consommer à la demande. Pourquoi en serait-il différemment pour la mobilité ? Les innovations technologiques, fondées sur la connectivité en général et l’emploi du smartphone en particulier, ouvrent le champ des possibles.
Le modèle traditionnel de la possession d’une voiture individuelle peut être perçu comme contraignant, car associé à des problématiques d’entretien, d’assurance, de parking, etc. La liberté ressentie au volant de son véhicule pourrait être éclipsée par la charge mentale et financière supportée. La marque de Renault Group dédiée aux nouvelles mobilités, Mobilize, répond à cette problématique. La voiture – bien sûr 100% électrique – est conçue comme l’élément central de l’offre, sans pour autant que l’achat soit le seul mode d’acquisition. La micro-citadine Mobilize Duo en sera un exemple dès 2024. La voiture est surtout indissociable d’une panoplie de services complémentaires, qu’ils soient liés à l’assurance, à l’entretien, à la charge du véhicule, etc. Le package peut être commercialisé sous la forme d’un abonnement et s’adapte en fonction de l’évolution des besoins de l’utilisateur, pour une flexibilité maximale.
Le véhicule électrique est donc le plus adapté aux nouvelles mobilités, qui remplacent la notion de possession automobile par la notion d’usage automobile. Il ne s’agit plus de puiser dans les ressources naturelles pour fabriquer un produit, de consommer ce produit, puis de le jeter, selon le modèle traditionnel de l’économie linéaire. Le principe d’économie circulaire prend alors tout son sens. Un même véhicule servant à plusieurs personnes, les études montrent qu’une voiture en autopartage remplace 5 à 8 voitures particulières.
L’électro-mobilité est aussi intimement liée à l’écomobilité. Malgré l’impact environnemental de la production de sa batterie, une voiture électrique qui roule en Europe émet, tout au long de son cycle de vie, quasiment 3 fois moins de gaz à effet de serre qu’un véhicule thermique équivalent. La mobilité électrique est donc un levier non négligeable de la lutte contre le réchauffement climatique.
Zéro émission lors du roulage, hors pièces d’usure, la voiture électrique n’émet pas de CO2… et son moteur n’émet pas non plus de polluants ! Cet atout est particulièrement appréciable en ville, où densité du trafic et densité démographique se superposent. Les modélisations montrent que l’électrification de 20% du parc roulant en centre-ville y fait baisser de 45% la concentration en composants volatiles et de 25% la concentration en particules fines. Le véhicule électrique a donc un rôle à jouer sur le plan environnemental comme sur le plan de la santé publique, notamment en matière de mobilité urbaine.